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Les nouveaux locaux du SIVOM du Cabardès en 1986

Par Le 07/12/2012

Le SIVOM du Cabardès sort de terre !

Créé en 1966 à Cuxac Cdès,
ses locaux seront transférés un peu plus tard à Saissac,
pour raisons de commodité.

Symbole de l’action sociale
et surtout du bien être des personnes âgées dans les territoires retirés,
il mettra en avant ce que chacun recherchait,
mais aussi,
ce que chacun recherche toujours,
à savoir :  

le Service de Proximité.

 

A l’étroit dans ses bureaux
de l’ancienne mairie à Saissac,
les employés déménageront en 1986
dans un immeuble neuf,
au  lotissement St Jean.

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Le duc et la duchesse d'Orléans de passage à Saissac le 14 septembre ..................... 1839

Par Le 05/12/2012


14 septembre 1839

Les altesses, le duc et la duchesse d'Orléans visitent Limoux
avant d'embarquer à Port-Vendres, pour l'Algérie.

La porte moyen-âgeuse du Pont-Vieux trop étroite est détruite,
afin de faciliter le passage du carrosse royal et sa sortie de la ville.

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Les Orléans règnent en France.
Louis-Philippe gouverne et son fils aîné, héritier du trône,
visite les provinces de son futur royaume.
Le prince Ferdinand Philippe, duc de Chartres, puis duc d’Orléans, est accompagné dans son périple
par la jeune épouse de naissance allemande que lui a donné la Prusse : la princesse de Meklenbourg-Scheverin.
Cette alliance ne déplaît pas au peuple. Le couple est gracieux, intelligent, épris de la littérature et de la pensée française,
enfin de tout ce qui concourt au rayonnement intellectuel de notre pays.

Le prince royal et madame la duchesse vont embarquer à Port-Vendres pour se rendre en Algérie.
Au cours de leur difficile et long voyage depuis la capitale,
ils traversent les régions méridionales afin d’évaluer l’état d’esprit du plus grand nombre possible
de villes dans les provinces où ils seront plus tard amenés à conduire leur politique
et à connaître les besoins des populations.

Leurs altesses passent sans encombre à Bordeaux, ensuite à Toulouse.
A force de tours et de contours,
elles visitent la célèbre école royale de Sorèze, s’arrêtent au bassin de Saint-Ferréol,
puis elles pénètrent sans retard dans les villes de Revel, de Saissac et de Pezens.
Après un accident matériel - quelque rupture de roue ou d’essieu - survenu à Montolieu,
la voiture princière est immobilisée.
Carcassonne accueille donc tardivement les héritiers de la couronne dans ses murs,
alors qu’à ce moment ils devraient être déjà à Limoux…

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Des contrebandiers arrêtés à Saissac ...

Par Le 28/11/2012

Article paru dans

"Le Journal de la Gendarmerie"
Septembre 1909

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Rue des Saptes

Par Le 22/11/2012

La
Rue des Saptes
dans les années 60,
vue prise de la Place de la Poste.

A droite,
l'ancienne épicerie Chiappelli,
lieu préféré de tous les écoliers,
de par sa situation
face à l'entrée de l'école publique.

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Dès le Moyen Âge,
Saissac est un village en pleine croissance grâce à la force de l'eau qui est omniprésente.
Des industries artisanales comme la draperie et les moulins s'y développent grâce à l'énergie de l'eau.
Au début du XVe siècle,
les marchands drapiers sont connus pour leurs tissus vendus sur les foires.
La famille Saptes est particulièrement renommée pour ses textiles ; elle bénéficie de la protection de Colbert et Louis XIV.
Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, l'industrie du textile est permanente
et le village connaît une prospérité importante.
En 1728, il existait 75 métiers et plus de 23 fabricants

                                                                                                                                                                                                                                   http://fr.wikipedia.org

diapo30.jpgLa Maison des Saptes

Inauguration de la Table d'Orientation

Par Le 17/11/2012

Inauguration de la Table d'Orientation

Plateau de "La Bourdette"

31 Août 1924

table.jpgParu dans le rare Touring Club de France

 

Commémoration

Par Le 11/11/2012

En ce jour de 11 Novembre,
je souhaitais vous présenter cette photo des années 20 ou 30.

Commémoration du 11 novembre
au monument aux morts
de l'actuelle mairie.

(L'environnement a bien changé)

 

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La Rue Molière

Par Le 30/08/2012

La Rue Molière

 

Rue reliant l'ancien centre du village (la Place aux Herbes)
à une de ses sorties (la Porte d'Autan).

C'est une rue typique où l'on peut voir
des encorbellements, des colombages et des débords de toiture
pour éviter que les eaux de pluie ne ruissellent.

A gauche, au fond, la "maison Palau".

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Colonie de Ramondens

Par Le 20/08/2012

La colonie

CCAS

du chateau de Ramondens.

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A 6 km du village d’Arfons, à autant de Saissac, à l’extrême sud-ouest du Massif central,
au pied de la montagne Noire et au beau milieu de sombres forêts,
se cache le chateau de Ramondens.

Propriété, en son temps, du célèbre Pierre Paul Riquet,
le domaine de Ramondens fût un témoin privilégié du temps passé.

Témoin de la vie et des légendes:

Au XIXe siècle, une source se trouvait près du château de Ramondens. On l’appelait la Sagne canine,
 et elle avait la vertu de rendre fécondes les femmes qui buvaient de son eau.
Un témoin de l’époque évoque une affluence importante en ce lieu :
 
« Aussi voit-on fréquemment des pèlerines, agenouillées dévotement sur le bord de la source et puisant force verres de l’eau limpide du miraculeux bassin ».
 

Témoin de l'histoire héroique et tragique:

terrain de combat du "Corps Franc de la Montagne Noire" face à l'occupant nazi

Puis,venant de nulle part, ou du ciel peut-être, des bruits étranges, puissants, des maquisards qui chantent "le chant du maquis", des rafales de mitrailleuses, des bombes éclatent lâchées par des Junkers 88. Nous sommes en juillet-août 1944...
Par les quelques lignes qui suivent, je souhaite rendre un vibrant hommage à Monpezat, aux officiers, aux gamins de 20 ans, à tous les combattants de l’ombre qui se sont dressés contre la barbarie nazie. Je donne fréquemment la parole au chef du maquis en utilisant son "journal de marche".

http://www.couleur-lauragais.fr/pages/journaux/2004/cl67/histoire.html

Témoin de l'avancée technologique:

surplombant la Rigole de la Montagne et à "deux pas" de la Prise d'Alzeau, Ramondens fût effectivement
témoin du gigantesque et génial chantier de l'alimentation du "Canal des deux mers" (Canal du Midi).