Articles de saissac
Création au village
Le Centre Culturel
Implanté en lieu et place de l’ancien camping,
jouxtant le terrain de sports et le foyer des jeunes,
le Centre Culturel était à l’image du Château,
imposant et majestueux.
Débutés en 1985,
les travaux prendront fin à l’été 86.
Suivront plus tard les aménagements extérieurs.
Le 12 Juillet 1986,
eut lieu son inauguration,
en présence de nombreuses personnalités
et de toute la population.
Ce qu’en disait Paul Durand, Maire de Saissac, dans « Le Grain de Sel » d’Octobre 1986 :
Figures Saissagaises - Auguste Fedou
Auguste Fedou
Tantôt « Figaro »,
tantôt pêcheur,
tantôt peintre,
tantôt pétanqueur …
Coiffeur de métier,
il était le cauchemar des enfants.
Brave homme mais dans son salon,
pas question de bouger « d’un cheveu ».
Lulu au shampoing, Auguste à la coupe
et l’affaire était rondement menée…
… jusqu’à 17 heures,
heure de la partie de pétanque
où il excellait dans un style tout particulier.
De ses temps libres,
il en profitait aussi pour enfiler son tablier de peintre.
Il était avec « Doudou »
la figure incontournable du quartier
de la Mairie.
1939-1945 ATTAQUE DE LA ROUGE
ATTAQUE DE LA ROUGE
" 29 juin 1944 "
Situation : Le 29 juin à 11h20 le lieutenant Jourdain est prévenu par un chef d’équipe de Saissac que 7 camions allemands avec une trentaine d’hommes, commandés par deux officiers en voiture légère venant de Lézignan vont au lieu-dit " La Rouge " au Sud-ouest de Lacombe. Le Commandant prévenu donne l’ordre d’attaquer immédiatement.
Opérations : Le lieutenant Jourdain embarque avec les pelotons Mercier et Mauran, Marcel et Wolf.. Débarquement 2 km avant l’endroit présumé, marche d’approche avec patrouilles d’avant-garde et de flanc-garde. Reconnaissance des fermes de Cabanelles, l’Albejot, le Fort et à 14 h arrivée au carrefour du chemin menant à la Rouge.
L’agent motocycliste Deguilhem signale la présence de 5 camions allemands. Jourdain place le peloton motorisé sur la cote 504 et lance l’attaque. Le peloton Mercier à gauche du ruisseau et le peloton Mauran à sa droite, doivent progresser en liaison à vue en direction de la Rouge par le Sud tandis que les pelotons Marcel et Wolf devront attaquer par le nord.
Le mouvement est largement engagé lorsque les commandants Mompezat et Sevenet et le médecin-capitaine Manquené arrivent sur place
Comme le carrefour du chemin de la Rouge avec la route Saissac-La Galaube n’est plus sous le feu du peloton motocycliste qui a quitté la cote 504 en direction de la Rouge, l’ordre est donné à Jourdain de reprendre le contrôle de la position. Il fait replier le peloton Mauran et envoie un agent de liaison vers le groupe Mercier qui progresse rapidement. Seuls les flanqueurs droits pourront être avertis.
Une voiture grise remontant le chemin de la Rouge est stoppée par le Fusil-mitrailleur de Rabaudy. Un allemand tire sans arrêt avec une mitrailleuse légère d’aviation, alors qu’il va diriger son tir vers un petit groupe de maquisards qui avancent sur la crête Jourdain, debout, l’abat avec sa mitraillette. Le véhicule est occupé tandis qu’un feu violent éclate vers la Rouge. Jourdain progresse dans sa direction avec le peloton Mauran. En chemin le chef Halm abat un allemand qui débouchait derrière un rocher. Quand ils arrivent à la Rouge le combat vient de se terminer.
Le sous-lieutenant Mercier et le cavalier Fabre sont morts sur place en servant chacun un fusil-mitrailleur. Le motocycliste Deguilhem armé d’un fusil-mitrailleur a été blessé à la tête par des éclats de grenade. Le cavalier Farsac est également blessé.
Côté allemand ils laissent sur place huit morts et trois blessés, les autres s’étant enfuis dans les bois. Le CFMN récupère 2 mitrailleuses 2 fusils-pistolet et 4 camions qui sont restés sur place.
Deux civils français, les yeux hagards, interrogés disent avoir été requis par les Allemands : ils sont relâchés au bénéfice du doute.
A 18 heures les escadrons rejoignent La Galaube où les prisonniers allemands blessés sont soignés.
A 19 heures dans les camps, à l’appel des couleurs, les drapeaux sont en berne.
Sources:
http://www.lemilitarial.com/cfmn/larouge.htm
http://polymathe.over-blog.com/article-32490654.html
40 ans de l’âge d’or
Bon anniversaire !
L’association l’âge d’or de Saissac a été fondée en 1976.
Elle est enregistrée à la préfecture le 2 juin 1976 et inscrite et homologuée au journal officiel du 8 juillet 1976.
Le président fondateur était Monsieur Roger Martin,
Cette association organisa pendant longtemps des goûters, jusqu'à ce qu’un membre propose de faire des repas à midi. Le plus beau de ces goûters, celui qui reste dans les mémoires c’est incontestablement la fête dite des « Jonquilles » Des centaines de ces odorantes fleurs avaient été cueillies par Valentin Homps en particulier et ornaient la salle du repas.
A l’un de ces repas, assistait Jojo,
joyeux retraité du lotissement Saint Jean,
qui se trouva placé près d’Ernest Marti,
de Fernand Janin et de Valérie Chavernac.
Il attaqua ferme Valérie et lui proposa,
les vapeurs éthyliques aidant,
d’envisager une vie commune.
Proposition, qui loin de la choquer
lui convint parfaitement,
si bien qu’elle annonça ses fiançailles
dans tout le village.
Sous les présidences de Messieurs Martin et Bergogne, des voyages d’un jour sont organisés et ont beaucoup de succès :
1977 Lac de la Raviège, le Sidobre, La côte Vermeille, Perpignan.
1978 Le Gers, Auch, Toulouse, Port Vendres, Banyuls.
1979 Andorre, Pas de la Case, Roquefort .
1980 Le Cabardès, Pic de Nore, Quillan le Puymorens .
1981 Andorre la Vieille Saintes Marie de la Mer.
1982 Albi Cordes, Rosas en Espagne
1983 Navacelles Saint Guilhem le désert. Pas de la case, Mas d’Azil
1984 Najac, Le Pont du Gard, Nîmes, Uzès.
1985 Bagnères de Luchon, St Bertrand, St Michel de Frigolet
1986 Vernet les Bains, St Gilles, Source Perrier.
1987 Beziers Canal du Midi, Gers, Lombez, Simorre.
1988 Sète par train Corail, Gers Condom.
1989 Sauveterre Viaduc du Viaur, Rodez, St jean du Gard, Bambouseraie.
Les premiers voyageurs, se disputent pour savoir où a eu lieu le plus mauvais repas. Est-ce le frugal et monastique repas de Saint Michel de Frigolet ou les fameuses moules absentes de leurs coquilles servies en Espagne ?
L’Espagne est aussi présente, dans les souvenirs gastronomiques, en raison d’un repas pourtant dûment commandé par Monsieur Martin, mais qui par suite d’un oubli de transmission n’était pas prêt a l’arrivée. La colère de Roger Martin atteignit des proportions Jupitériennes et le repas, servi avec un peu de retard fut quand même fort honorable.
A partir de 1989 Monsieur Jalbaud Robert prend la présidence du Club, et l’année 1990 a lieu le premier Grand Voyage de plusieurs jours.
Nous sommes accueillis au village V A L de Val Louron par Jean Allenou,
qui nous fait une chaleureuse réception.
Si nous avions à décerner un prix orange, nul doute que VAL Louron
avec Collonges La Rouge seraient les lauréats.
Seule fausse note dans un village Espagnol,
nous nous faisons éjecter,
par le propriétaire de la maison que nous visitions.
(rediffusion)
106 000 pages vues !!!!
Malgrè sa migration
depuis le 20 septembre dernier,
Saissac d'Antan
poursuit son petit bonhomme de chemin,
ne cessant d'attirer toujours plus de visiteurs.
106 000 pages vues
Pas mal n'est ce pas ?
Mais n'oubliez pas
que les publications continuent
ici :
http://saissacdantan2.e-monsite.com/
Migration vers Saissac d'Antan la suite !
Vous l'avez peut être lu sur le bandeau de bienvenue,
ce blog va bientôt migrer
vers une autre adresse.
Le
Lundi 26 Octobre 2015
vous pourrez me retrouver sur:
http://saissacdantan2.e-monsite.com/
Rien à faire de votre côté, si ce n'est
enregistrer cette nouvelle adresse.
De plus, Saissac d'Antan 1, restera en ligne,
avec toutes ses archives.
A bientôt !
Le domaine d'Escourrou ...
... vers 1950 !
Le Petit Train de Saissac ...
... puis de la Cité !
ZOOM sur l'aventure du Petit Train !
C'est une aventure qui a débuté il y a quelques décennies avec Loulou Barbaste,
le long de la Rigole et des routes du Saissagais
et qui se perpétue depuis tout autour de la Cité de Carcassonne
avec aux manettes Pierre Barbaste.