Articles de saissac

Photos ecole de Saissac - Année 1980

Par Le 02/04/2014

 

Photos ecole de Saissac - Année 1980

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Histoire d'écoles ...

Par Le 31/03/2014

Histoires d’écoles
Par le Dr Jean Michel

 

 

Instituteurs  et Institutrices

Mlle Marie Rouaix est la première institutrice laïque en 1895, par la suite on se souvient de Mesdames et Mesdemoiselles Alice Chatelet, Bonnet, Pouzenc, Tubery, Cérèze, Oustry, Salvetat, Rouire, Safforcada, Borques, Bousquet Renée, Antolin Pierrette.

Le plus ancien instituteur connu est Mr Azaïs en 1830, puis on note  Labozie Antoine 1837, Mr Guichard en 1916, MM Izard, Tubery Raymond, Villalta, Jourliac, Oustry Eugène, Salvetat André, Durand Paul, Zocarato, Assens, Fauré Pierre.

Les difficiles débuts d’une enseignante laïque.

 Mademoiselle Marie Rouaix, fut la première institutrice laïque de Saissac.
Elle était originaire de Massat (Ariège) et sortait de l’école normale. Elle épousa Mr Doumenc ébéniste au faubourg d’Autan. Sa fille Jeanne épousa Mr Gibert, instituteur puis directeur d’école. Nommée vers 1895, date de l’installation d’une école de filles, dans une partie du local de l’école des garçons à l’ancienne perception. L’école des filles est installée à l’étage, avec une cour, un préau et une entrée particulière. A ses débuts personne à Saissac ne voulait lui vendre du lait.
Fort pieuse elle-même, elle conduisait ses élèves à l’église, où on les plaçait dans un coin isolé. Une fois même on avait retiré les bancs où ils devaient s’asseoir et ils suivirent la messe debout.

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Vers 1895, Classe de Mademoiselle Rouaix Marie.
Au premier rang en bas
 Marie Ouradou « Binsarel », Rose Calas, Eugénie Jouy épouse Vialade,
Lucie Amiel, Guiraud ?, Baptistine Embry, Félicie Durand de l’horloger.
Rang 2
 Félicie Embry, Rosalie Bousquet, la « Jeppa » épouse Raucoule Ernest (boucher), Albanie Chabaud de l’usine Chabaud. 3 inconnues.
Rang 3
 Mathilde Galinier, x, x, Rouaix Marie, Antoinette Galibert, Baptistine Coux « Jeanti ».

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Au rang 1.  3 Anna Doumenc, 4 Jeanne Doumenc épouse Gibert.
Au rang 2 au centre Rose Calas tenant un bébé. Théo père de Calas

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Au premier rang, au milieu Anna et Jeanne Doumenc.

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Rang 1, x, Antoinette de « Trottoco » Villemagne, x, Cambon Léocadie, Arribaud Marie de Mantélis, belle-mère de Pierre Oustric, Cros.
Rang 2 Sélariès Marie, x, Jouy Emilie, Fourès Marie-Jeanne, , Rey Jeannette, Passebosc Marie-Antoinette, Lagoutte Marie, Bonnafous Antoinette épouse Marius Fabre, père d’Eloi
Rang 3 Jeanne Doumenc, Iché Marie Louise épouse Roquefort  (Forgeron),Danes Marie Thérèse, Albarel Anna, Arribaud Rosalie, Guiraud Pauline, Cros Marie Françoise.

Avril 1916.

Marie Doumenc continue à assurer son service malgré sa maladie (Oreillons).
L’inspecteur conseille l’arrêt de travail.
Notons qu’à cette époque, il y avait 2 classes de filles, l’autre étant dirigée par Alice Chatelet.
Le directeur des écoles étant Mr Guichard qui signe la lettre.

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Mlle Montpelier

Mlle Montpelier était institutrice libre à l’école des frères,
elle assura des cours jusqu’en 1930, puis partit à Arzens.
 Elle avait peu d’élèves 4 à 5 filles, dont Marinette Pujol.
Sa mère préparait les repas pour les élèves venant des métairies isolées.
Dans cette maison Marie Fabre s’occupait du patronage. Il y avait une chapelle.

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Portraits d'anciens !

Par Le 26/03/2014

 

Portraits d'anciens

F bibies mt bousquet

Bien attablés !
F Bibies, MT Bousquet, D Gleizes, Me Bibies

 

 

 

 

 

Photos ecole de Saissac - Année 1979

Par Le 19/03/2014

 

Photos ecole de Saissac - Année 1979

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Liste d'opposition aux "Municipales" (2)

Par Le 17/03/2014

Elections Municipales


Saissac
capitale de la fleur Cathare !

Reunir saissac

 

... en 1989 !

Aurions-nous fini sur le bûcher ?

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Ets Galibert

Par Le 17/03/2014

L'entreprise Galibert

Toute l'équipe devant l'atelier
place des Tours.

Galibert

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Liste d'opposition aux "Municipales"

Par Le 14/03/2014

 

Elections Municipales

Afin que chacun
puisse faire son choix
en toute tranquilité,

je vous présente aujourd'hui
la liste d'opposition
et sa profession de foi
pour les
élections municipales.

Elections 1908 2

Elections 1908 1

... en 1908 !

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Portraits d'anciens !

Par Le 12/03/2014

 

Portraits d'anciens

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Indissociables !
A Chiapelli, M Ernst, J Pistre

 

 

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CO Saissac - Quel palmarès !

Par Le 11/03/2014

Un des plus beaux palmarès du département !!!  

   
   

Palmarès
du
C. O. Saissac

   
   

 La

 

 Champions de l’Aude

1954/1955 Champion 1ère  série 1973/1974 Champion 2ème division
1974/1975 Champion Promotion de 1ère Division
1994/1995 Champion Cadets
1998/1999 Champion de 1ère  Division
2000/2001 Championnat de l'Aude Benjamins
2009/2010 Champion de 1ère  Division

 

Vice-Champions de l’Aude

1946/1947 Vice-champion 2ème Division
1947/1948 Vice-champion 2ème Division

 

Coupe de l’Aude

1949/1950 Vainqueur
1950/1951 Finaliste
1954/1955 Vainqueur
1956/1957 Vainqueur
1957/1958 Finaliste
1973/1974 Vainqueur
1974/1975 Vainqueur
1975/1976 Finaliste

1977/1978 Vainqueur Coupe Cadets
2000/2001 Coupe de l'Aude Benjamins

Coupe G. Favre

1976/1977 Vainqueur
1977/1978 Vainqueur
1997/1998 Finaliste
1999/2000 Finaliste
2003/2004 Finaliste
2006/2007 Finaliste

 

Challenges Séniors

Vainqueurs du Challenge Almerge
Vainqueurs du Challenge de la Montagne Noire

 

E 

 

                       

 

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Figures Saissagaises - Vittorio Manfroï

Par Le 10/03/2014


Vittorio Manfroï

 Vittorio


Le « Cadiéraïre »

 

Il avait une belle tête, avec des méplats pleins de force et ce sourire ou plutôt ce demi sourire entre la terre et le ciel. On sentait en lui, une conscience drue, une paix formelle. D’un œil brave, plein de soi, il contemple la paille dure et vraie. Il s’installe sans façons dans son petit atelier, d’où l’on voit un admirable vallon, qui a la forme des œuvres de Dieu, et là, assis sur un tabouret qu’il a lui-même tressé, il s’attelle à la chaise encore inachevée, et l’on voit tandis que des abeilles plantent des ailes sur son béret et que les mésanges affolent les lauriers, on voit sa main tresser et entrelacer les fines tiges, ou « planer » pour façonner une chaise.
Vittorio Manfroï est né le 17 avril 1905 à Taïbon, petit village près de la Piave, près de Venise. Il fut un valeureux combattant de 14/18, et ne manquait pas à chaque 11 novembre de venir défiler avec une belle brochette de décorations qu’il accrochait fièrement au revers de sa veste.
Il arrive à Saissac le 10 février 1924 ; avec sa femme Santina et ses deux filles Anna et Antoinette et s’installe comme artisan-chaisier.
Il travaille pendant quelque temps, dans les années 30, à la coopérative laitière où il était chargé de l’entrepôt frigorifique, toujours chaudement emmitouflé dans une vaste écharpe, il passait constamment du chaud au froid. Les italiens Zambelli et Lazzarini préparaient les réputés fromages « Prodolone » et « Moun Païs », imités de l’italien « Paese ». Le jeune Odilio Lucarelli, les chauffeurs André Allaux, Ernest Bach et Guilhem et la jeune secrétaire Suzette Albouze, y travaillaient aussi. Puis pendant la guerre, il est embauché dans les métairies. Mais en fait il était surtout et longtemps exclusivement chaisier et rempailleur.

Un personnage pittoresque

Grimpé sur son vélo, il parcourait la région, allant proposer ses services un peu partout. Dans certaines fermes il restait plusieurs jours pour rénover les sièges de paille qui s’usaient vite. L’ouvrage ne manquait pas. Il avait confectionné une hotte faite d’une chaise retournée, et sur son dos il transportait ainsi les cadres de bois, la paille était placée, bien étalée sur le cadre et les outils rangés sur le porte-bagages. Ainsi équipé il cheminait lentement et chacun se souvient de cette silhouette singulière et originale.
Toujours, ficelé d’insolentes loques, pantalon de velours et gilet avec la grosse montre de gousset, avec dans le coin de l’œil cette mélancolie en coulisse, cet éclat dans le regard, une peau trop mûre, parsemée de couperose, sur un visage qui s’allonge, un œil émerilloné, l’hilarité du rire, le cœur content, l’allure du béret, la moustache gauloise.
Le vin est le plus antique compagnon de l’homme, Vittorio, il faut bien le dire, avait un penchant pour la dive bouteille. Un jour remontant, avec une bonbonne, il glissa et cassa le récipient, «  pour la bonbonne, raï, dit-il, mais perdre tant de bon vin, qué disgrazia ! »
C’était un excellent bouliste, après son travail, il venait faire une partie de « boccias » derrière la mairie, dès que j’arrivais il m’invitait à prendre sa place, sachant que je n’avais guère le temps de jouer aux boules et que souvent je ne pouvais finir la partie en raison d’une urgence.

« Passé Composé » de Jean Michel

 

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1884, demande de transfèrement du chef lieu de Canton

Par Le 08/03/2014

O combien encore d'actualité,
130 ans après !!

A la demande du Conseil Municipal
de la Commune de Brousses,
il est proposé
le transfèrement du chef lieu de Canton,
de Saissac
à Saint Denis.

Cela ce passait en Avril 1884.

Lire le dossier en cliquant sur le lien:

041884.pdf 041884.pdf

CO Saissac - 1974, le renouveau !

Par Le 08/03/2014

Il y a juste 40 ans ...

C'était en mai 1974,

déjà champion de 2ème division, le CO réussit à se qualifier pour la finale de la Coupe de l'Aude, la Coupe Victor Lopez.

Disputée sur le stade du canal à Trèbes, sous un beau soleil et un millier de spectateurs,

la partie se terminera sur le score de 1 à 0 pour le CO Saissac.

Le club remportant ainsi ce trophée pour la 4ème fois de son histoire.3-1.jpg

 

Les équipes avant le match avec l'arbitre du jour: Mr Boutié Yves.

finale-coupe-lopez-axat-saissac-a-trebes-2.jpgCo Saissac

finale-coupe-lopez-axat-saissac-a-trebes-1.jpgUs Axat

11.jpgPrésentation des joueurs Saissagais aux officiels

3-2.jpgArrêt du gardien Marc Paule sous le regard de son défenseur C. Palau

4-2.jpgRemise du trophée au capitaine Aimé Gleizes

10.jpgLa joie de tous

12-1.jpgFête au café de la Montagne Noire à Saissac Fiorio, Gleizes, Paule
Le CO Saissac recidivera l'année suivante devant le même adversaire.

 

Photos ecole de Saissac - Année 1978

Par Le 05/03/2014

 

Photos ecole de Saissac - Année 19781978

1978

1978




 

 


Les mines de la Loubatière

Par Le 03/03/2014

Mines de la Loubatière
Par le Dr Jean Michel

 

Elle n’est pas située sur la commune de Saissac, mais la vie de nombreux saissagais
est intimement liée à son exploitation.

Historique

Les minerais de plomb argentifère ont été exploités depuis la plus haute antiquité, les anciens travaux portent les traces d’exploitation par le feu, avant l’invention de la poudre.
Gaulois et Romains ont exploité ces gisements ainsi que des gisements de fer, comme en témoignent les immenses ferriers disséminés dans toute la Montagne. La villa Gallo-Romaine du lac de Saint Denis était le centre d’une exploitation très importante de fer. A côté de la mine on a trouvé des vestiges gallo-romains fragments d’amphores, poteries diverses, Des travaux anciens ont été recoupés lors de l’exploitation de la mine.

Au XIIème siècle :
 accord entre Trencavel et sa sœur Ermengarde vicomtesse de Narbonne prouvant que les mines de la Montagne Noire étaient en pleine activité (Fédié) Histoire de Carcassonne.

1310
Pierre de Roquefort, évêque de Carcassonne s’empare, illégalement de la forêt de la Loubatière, il installe au lieu-dit Belloc, une petite église dédiée à Notre-Dame.

1315
 Un groupe de chartreux s’installe et fonde un monastère.

1338
L’Evêque  de Carcassonne fait vendre du fer de la Loubatière à Fontiers et Saint Denis.
Il semble que les chartreux aient eu une activité minière, ont-ils exploité le bon filon ? Des travaux près de la maison forestière ont pu être faits par eux.

1581
Maître mineur noble, Nicolas Cotard est habilité par le roi pour reprendre une exploitation d’un ancien site minier à « la lovatière » (plomb et cuivre).

1666
 Début d’exploitation, César d’Arçons envoyé par Colbert, déclare que le fondeur est un incapable, il ne sait pas faire un fourneau, son prix de revient est trop élevé.

1778
 De Gensanne :  « Il y a une mine de plomb qui paraît assez riche en argent, ce filon paraît avoir une suite ». 

1803
De Barante situe le filon à 400 toises au Sud Est de la Loubatière.

1896
 Esparseil père retrouve le minerai de plomb (Alquifoux) et situe la mine de la Loubatière, à 25 km au Nord de Carcassonne dans une cuvette ainsi que le dit Gensanne, remplie par des schistes d’allure tranquille et de pendage modéré.

Février 1937
Premiers travaux

1938
Cette année-là, est créé la « Société des mines de la Loubatière »  qui va ouvrir la mine.

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Mai 1939
Début de la construction de l’usine de traitement du minerai. Entre temps une carrière est exploitée et des travaux préparatoires amorcés (laverie, travers-banc et traçage de la descenderie de la vieille mine).

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1940
La première usine de flottation est construite et démarrée en 1941. La laverie était constituée d’un concasseur à came et levier, alimentant un broyeur à boulets Hardinge, avec classificateur Dorr Simplex  et 12 cellules Krupp.

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Env. 1950
La société des mines de la Loubatière est reprise par la société Fers et Minières.
Contrôlée par Marcel Humbert, qui possède 5790 sur un total de  6000,
la direction de la mine est assurée par Gaston Péquignot qui réside à Fontiers

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1958
Cette société est achetée par  la toute puissante  « Penarroya » qui va l’exploiter pendant 4 ans sous la direction de Mr Masanovic ;
A la suite de la baisse du prix du plomb, la mine est fermée le 24 septembre 1962.

 

Le personnel

En 1938, il y avait 40 ouvriers et 12 en 1945.
Pendant la guerre et l’occupation, la mine servit de refuge à beaucoup de jeunes de la région, car le travail à la mine les dispensait du S T O (service du travail obligatoire) qui les obligeait à partir travailler en Allemagne.
Les jeunes Montagnols, Alquier Louis, Calas Maurice, Pistre Julien, Ricalens Pierre de Saissac mais aussi Assié Gaston de Saint-Denis s’embauchent pour quelques temps.
A la libération, on affecta à la mine des prisonniers Allemands qui vont y  rester plusieurs années;
 Ils utilisent la monnaie de Camp.
A partir de 1945,de nombreux réfugiés Espagnols, manquant de travail dans les bois, vont travailler à la mine. En 1960 on trouve 160 ouvriers. Le travail se fait 24 heures sur 24, par trois équipes. C’est un travail dangereux, 9 mineurs vont trouver la mort au travail.
Une de ces équipes est composée des mineurs de Saissac, Arfons, Saint Denis qui sont transportés par un camion conduit par André Allaux, dit « Lé Court ». Ce camion est entretenu par Ernest Bach qui est aussi le chauffeur du directeur.

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Effectif au 30 novembre 1958

Fond 138 : Albert G, Aniort C, Arago Jh, Aubry A, Audemar L, Auriol M, Avérous R, Audemar M, Bertrand F, Bastide Jh, Bessière L, Béteille E, Brunel H, Cabanac R, Cabrol E, Carle L, Cano A, Carayol J P, Carayol R, Carayol R, Carayol T, Carayon J, Carles R, Caretier L, Cayuelas L, Cayuelas Matarena, Céréza J, Cazes A, Colomiés E, Corbiere R , Corbière H jeune, Corsini G, Coste R, Couzinié M, Cros J, Culier René, Culier Roger. Debals R, Delbal P, Delgado H, Diaz Rubal J, Domingo A, Domps A, Domps Camille, Dos Santos Manuel, Enjalbert, Ernst M, Escande E, Escande M, Escande N, Escande S, Fabbri A, Fabbri C, Fabre A, Fabre I, Favaro, Fernandez M, Ferrié E, Ferrié G, Fonseca G, Fourman H, Francesconi G, Gangloff Jh, Gay F, Géri A, Grava E, guitard L, Guilabert , Hebraud R, Herreros E, Jarlan L, Jalabert A, Janejova J, Jousserand A, Jousserand J, Lacamp F, Lanau F, Lattes R, Leclaire G, Léon R, Louis C, Malleville E, Maffre L, Maganto R, Marchand M, Marty G, Marti Jh, Massat E, Mata D, Mateo C, Maurel P, Maury A, Maury H, Maury N, Metikoff A, Milinkovic, Miquel R, Mora D, Moreno M, Monestier L, Montagné A, Munoz J Olivan G, Olivera L, Orlandini E, Oustric E, Pacher H, Palau F, Palau Jh ;Palau R, Paluch J, Paquet R, Peco C, Perez G, Polop E, Prat R, Ramel G, Reynès J, Ricalens L, Rodriguez R, Ruiz José, Ruiz Michel, Rouquier L, Sala E, Saly F, Salviac B, Salzman Peralba, Savoldelli A, Signori E, Sirven G, Sirven J. Sobrino, Thomas Jh, Valls A, Villani F, Villefranque A, Zenoni D.

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Air comprimé : Orduna L, Bonami R
Maitrise : Rascol
Mine Jour : Barthas L, Doumenc F, Escande A, Galibert A, Guiraud A, Revel R
Magasinier : Barthas A
Atelier : Alaux A, Arnaud R, Carayol P, Condé J, Constans F, Coste R, Dominique J, Domps A, Hernandez A Père et fils, Izard F, Mateo J, Noval M, Ruiz J, Tokoï J, Kopola Jean et Casimir

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Ingénieurs : Noiraud, Jean Antoine, Elicegui, Audoli, Vague
Laverie : Azema E, CarayolB, Béteille F, Blanc A, Castillo R, Durand G, Enjalbert F, Gomar Jh,
 Lasalle S, Loubat A, Navacerrada R, Ruiz G, Ruiz L
Technicien laverie : Boudon
Service Auto : Cabrol R, Chaïla P, Montagné M
Bureaux : Amen L, Barthas R, Boivert E, Cabannes G, Durand A M, Joulia E, Pichardo R, Revel M, Tokoï S.
Gardiens : Gout H, Bordes J
Labo :  Jalabert Y, Montagné Jh

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Foyer Rural - 1973

Par Le 28/02/2014

Vacances de février 1973
 

Voyage à la neige,
organisé par le Foyer Rural.

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Photos ecole de Saissac - Année 1977

Par Le 27/02/2014

 

Photos ecole de Saissac - Année 1977

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Extraits 1888

Par Le 24/02/2014

Extraits
de la séance du Conseil Général
du mois
d’Avril 1888

1 192 17

Concernant l’acquisition

de la caserne de gendarmerie :

3 13

4 6468 001Gendarmerie

Photos ecole de Saissac - Année 1976

Par Le 21/02/2014

 

Photos ecole de Saissac - Année 1976

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Figures Saissagaises - Séverin Antolin

Par Le 17/02/2014


Séverin Antolin

             

      Severin

D'origine espagnole,
d'une famille arrivée en France dans les années 40,
Séverin, de même que son frère Albert,
s'établira à Saissac.

Brillant musicien (batterie), rugbyman, pétanqueur,
toujours "endimanché",
il avait fière allure avec son couvre-chef.

AntolinBoules 1Rugby2 1  

 

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