Articles de saissac
La Rue Molière
La Rue Molière
Rue reliant l'ancien centre du village (la Place aux Herbes)
à une de ses sorties (la Porte d'Autan).
C'est une rue typique où l'on peut voir
des encorbellements, des colombages et des débords de toiture
pour éviter que les eaux de pluie ne ruissellent.
A gauche, au fond, la "maison Palau".
Colonie de Ramondens
La colonie
CCAS
du chateau de Ramondens.
A 6 km du village d’Arfons, à autant de Saissac, à l’extrême sud-ouest du Massif central,
au pied de la montagne Noire et au beau milieu de sombres forêts,
se cache le chateau de Ramondens.
Propriété, en son temps, du célèbre Pierre Paul Riquet,
le domaine de Ramondens fût un témoin privilégié du temps passé.
Témoin de la vie et des légendes:
Témoin de l'histoire héroique et tragique:
terrain de combat du "Corps Franc de la Montagne Noire" face à l'occupant nazi
Puis,venant de nulle part, ou du ciel peut-être, des bruits étranges, puissants, des maquisards qui chantent "le chant du maquis", des rafales de mitrailleuses, des bombes éclatent lâchées par des Junkers 88. Nous sommes en juillet-août 1944...
Par les quelques lignes qui suivent, je souhaite rendre un vibrant hommage à Monpezat, aux officiers, aux gamins de 20 ans, à tous les combattants de l’ombre qui se sont dressés contre la barbarie nazie. Je donne fréquemment la parole au chef du maquis en utilisant son "journal de marche".
http://www.couleur-lauragais.fr/pages/journaux/2004/cl67/histoire.html
Témoin de l'avancée technologique:
surplombant la Rigole de la Montagne et à "deux pas" de la Prise d'Alzeau, Ramondens fût effectivement
témoin du gigantesque et génial chantier de l'alimentation du "Canal des deux mers" (Canal du Midi).
Colonies de Vacances à Saissac
Série sur :
les Colonies de Vacances
à Saissac.
De par sa situation exceptionnelle,
Saissac a longtemps accueilli sur son territoire,
de nombreuses colonies de vacances.
"Le Picou", "Les Hortensias", "Fontcroisette", "Le Lampiot", "Ramondens", la colonie du village,
autant de lieux où se sont succédées des générations d'enfants.
~°~
Arrivée des "Colonettes" sur la place de l'actuelle mairie.
La colonie était située à l'angle des rues Molière et de Verdun.
Années 1930/1940
La Porte d'Autan et le lavoir
Ancienne porte de l'enceinte médiévale,
le Portail d'Autan
semble dater du 14ème siècle (il comporte en effet les armes des Thurey).
Au dessus de la porte,
une niche ou était installée une vierge de piété.
En arriere plan, le Lavoir.
Construit entre 1889 et 1890, le bassin est de forme ovale, couvert d’une charpente reposant sur deux colonnes de granit, elles-mêmes surmontées de chapiteaux. La croix marque l’emplacement d’une chapelle disparue, consacrée à Saint-Ignace et citée en 1641.
La route de Saissac à Arfons
La route de Saissac à Arfons
Le pont sur La Rigole à hauteur du chemin de Camigné.
"En 1236, Raymond de Dourgne reconnaissait que le village d'Arfons avec tout le territoire limité par des croix de sauvement était et avait toujours été la propriété des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Durant les guerres des Albigeois, Arfons avait beaucoup souffert. Les seigneurs des environs avaient envahi les terres des religieux, dévasté leurs bois, arraché leurs vignes ; le village s'était repeuplé. La charte précitée est un des nombreux actes de réparation que les Hospitaliers obtinrent de leurs voisins, quand ils purent s'occuper de reconstituer leur domaine et de relever les croix qui les délimitaient. Une charte du quatorzième siècle dans laquelle se trouvent énumérées les possessions de la communauté mentionne le vieux chemin de Castres à Saissac sous le nom de strade antique. C'était la voie romaine qui rattachait la position fortiliée de Castres avec Toulouse d'un côté et Narbonne de l'autre. Quelques autres parties de la voie ont été trouvées entre Castres et Mazamet."
Revue des sociétés savantes des départements, Volume 2
Re.. la Place des Tours
Toujours pas de photo de la scierie...
mais une vue de la place des Tours avec notamment,
l' ancien atelier de mécanique situé sous le lavoir.
La Place V Hugo, à droite, n'était pas encore surelevée.
A noter, le panneau publicitaire (pour des huiles moteur) accroché à l'arbre,
car aujourd'hui, il est quasiment "avalé" par ce dernier.